mercredi 9 août 2017

Et si on pouvait stopper les actions terroristes par une pensée juste et puissante?


Je lis Au-delà de l'impossible de Didier Cauwelaaert


À la fin des années 1980, en pleine guerre entre Israël et le Liban, des chercheurs américains Horne, Johnson, Alexander, Davis et Chandler, effectuèrent, sous le nom ''Projet international pour la paix au Moyen-Orient'', une expérience tout à fait inédite. Il s'agissait d'envoyer sur les lieux où les combats faisaient rage un commando de penseurs entraînés à la méditation optimiste, avec pour mission de se réjouir en éprouvant un sentiment de paix comme si la guerre était finie. Cette application à grande échelle de la méthode Coué produisit des résultats si spectaculaires, qu'ils furent relatés, analysés, modélisés dans une très sérieuse revue académique internationale, le ''Journal of Conflict Resolution''  (''Journal de résolution des conflits'').

Aussi incroyable que cela puise paraître, sur tous les lieux de combat traversés par cet escadron de ''casques roses'', la paix dont ils se félicitait devenait une réalité. Arrêt des actions terroristes, baisse significative des offensives et des ripostes, respect spontané de trêves inattendues, fraternisation des factions rivales... Sur la base de ces résultats pratiques, on élabora une théorie. Des psychologues et des statisticiens de l'université de Princetown réussirent à définir le nombre de personnes nécessaires pour stopper mentalement une guerre. D'après leur étude, il suffit que la racine carrée de 1% de la population concernée (soit 7746 bénévoles à l'échelon planétaire- calcul fait en 2007) ressente la paix pour que celle-ci devienne réalité.

Allons plus loin. Si la pensée peut ainsi agir à distance sur le mouvement, la matière, l'état de santé, les émotions, serait-elle capable de se manifester lorsque le cerveau se trouve hors service? 

Cela nous amène au problème des NDE (Near Death Experiences) mises en évidence par le Dr Raymond Moody.

À suivre...

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